Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)
 Liens   Time out 

...Journal d'une Absente...[Time Out]

Version  XML 

...

On me dit que nos vies ne valent pas grand chose, Elles passent en un instant comme fanent les roses. On me dit que le temps qui glisse est un salaud Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux Pourtant quelqu'un m'a dit... Que tu m'aimais encore, C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore. Serais ce possible alors ? On me dit que le destin se moque bien de nous Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout Parait qu'le bonheur est à portée de main, Alors on tend la main et on se retrouve fou Pourtant quelqu'un m'a dit ... Mais qui est ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais? Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit, J'entend encore la voix, mais je ne vois plus les traits "Il vous aime, c'est secret, lui dites pas que j'vous l'ai dit" Tu vois quelqu'un m'a dit... Que tu m'aimais encore, me l'a t'on vraiment dit... Que tu m'aimais encore, serais ce possible alors ? On me dit que nos vies ne valent pas grand chose, Elles passent en un instant comme fanent les roses On me dit que le temps qui glisse est un salaud Que de nos tristesses il s'en fait des manteaux, Pourtant quelqu'un m'a dit que... Quelqu'un m'a dit Carla Bruni

Laissez lui démonter le ciel...

--> Francis Cabrel

Le coin des rues comme des frontières
Et toujours penser à se taire
La ville encerclée sous le gel
Depuis c'est toujours pareil
Le temps malmène
Ces hommes qui traînent
Le poids de leur corps
Leurs phrases vides
Leurs larmes sèches
Leurs années d'efforts
Les rues immenses
Où le givre s'avance
Et la patrouille dehors
C'est à peine si les pavés résonnent
Sous le pas lourd des moitiés d'homme
Les mains fermées sur leur colère
Les yeux comme privés de lumière
Peut-être un jour si Dieu s'en mêle
La pluie remontera au ciel
Vers nos immobiles remords
Mais c'est toujours pareil dehors
Le temps malmène
Ces hommes qui traînent
Le poids de leur corps
Leurs phrases vides
Leurs larmes sèches
Leurs années d'efforts
Les rues immenses
Où le givre s'avance
Et la patrouille dehors
Et s'il veut vivre ici longtemps
Surtout laissez rêver l'enfant...

Ecrit par L'@bS£nT£, le Lundi 4 Avril 2005, 22:26 dans la rubrique "".
Repondre a cet article